LES PRO-LOUPS ECHAPPENT AU DEBAT

LA MAJORITE DES PRO LOUPS REFUSENT LES DEBATS. (Ils ont de quoi…).

On voudrait connaître 1 seul argument en faveur de laisser les Loups en France… IMPOSSIBLE… Nos amis qui ont la science infuse des prédateurs, s’effacent devant les arguments. DOMMAGE. 

On va finir par croire qu’il n’y a pas de bonnes raisons de défendre ces prédateurs de façon scientifique mais seulement par des slogans sous l’émotion de rêves d’enfants.

Impact des loups sur les écosystèmes ? Rien…on attend des réponses…

Certes il y a les grands problèmes de la planète.

Que l’on soit « Climat sceptique » ou convaincu des impacts du Carbone sur son avenir, les débats sont complexes mais légitimes. J’envie de dire, peu importe pour ce qui concerne ici...

Le point commun à tous les observateurs, est celui de la démographie. Cette évidence, peut être anxiogène, et a juste titre.

Que des organisations comme UICN, WWF  tente d’apporter des solutions  et d’agir à l’échelle internationale est compréhensible, je dirais même rassurant, si le débat visait à rassembler. Tout n’est pas à contester…mais là se pose un VRAIS probléme de démocratie sur deux thèmes précis dont l'impact est socialement inquiétant. Celui des grands prédateurs et celui de la privatisation des territoires.

En effet, force est de constater que toutes les orientations prônées par ces organismes semblent orchestrées de façon cachée, obscure, en dehors de tout débat démocratique, et en "entre soit". 

Ce qui est anxiogène ce sont ces grands idéaux imposés sans concertation avec les principaux intéressés que sont l’ensemble des acteurs du monde rural, les élus locaux, les éleveurs, les agriculteurs de moyenne montagne, les chasseurs, les pêcheurs, les randonneurs, les ramasseurs de champignons, les vététistes et tout ceux qui viennent dans nos campagnes pour gouter l’air et les traditions d’antan.

Les échanges avec les associations activistes, ne sont que rapport de force et défiances.

Défiances verbales, défiances de postures…tout est conflit… les gueux n’ont rien compris… Les chasseurs sont tous des abrutis, les pêcheurs des sadiques aux hameçons, les petits éleveurs ne protègent pas leurs troupeaux, les maires des villages des « gestionnaires de chiens écrasés », etc,, mais on exaspère ainsi la frange de cette population qui façonne nos  paysages depuis des siècles et sans lesquels tout ne serait que forêts et friches.

Viennent se mêler dans ce débat, la nouvelle mode des Vegans qui viennent imposer et revendiquer avec violence et mépris, pour le besoin de leur cause la fermeture des élevages. L’humanité est appelée à un mea culpa…  on doit considérer que l’homme et l’animal sont sur le même niveau d’égalité… et cela a plus d’impact qu’on ne le pense dans les centres villes. 

Les sondages que l’on martèle en boucle à BFM TV sont ceux des villes. 

Si 80 % de la population serait favorable aux loups, ou contre la chasse, tentons de faire un autre sondage sur les habitants des campagnes… le résultat serait alors inversé dans les mêmes proportions. 

Si nous souhaitons appeler les associations dites « naturalistes » au débat d’idée ce n’est que pour comprendre leurs augments et leur politique sous-jacente, qu’ils imposent.

Nous sommes à la financiarisation de nos espaces naturels et à leurs privatisations à l’Américaine. La nature a un prix marchand. On parle de compensations financières, d’actifs, de compensation écologiques, de compensation carbone., de banques vertes.  Des études sont réalisées et avec beaucoup de patience on peut, c’est pas gagné, en avoir quelques extraits... mais avec beaucoup de contorsion et de patience, pour le commun des mortels. 

Les débats des fonctionnaires Parisiens des ministères de l’environnement, de l’Efese, et d’autres, sont d’une suffisance à couper le souffle…

Alors Messieurs et Mesdames de l’UICN, de WWF, de l'EFESE, et de vos associations adhérentes ( FNE, FERUS, ASPAS), de notre ministre de l’environnement, vous qui tenez pour vérité votre posture pour changer la planète, quid du loup dans nos campagnes ?. 

Quelles est la situation actuelle, sa croissance, son impact sur nos élevages ? 

Comment vous projetez vous à 10 ans ? Combien de Loups et d’Ours ? 

Comment un prédateur qui n’a pas de prédateur va t’il s’accaparer nos montagnes et nos plaines ?

Expliquez-nous votre politique de privatisation des espaces naturels.

L’homme est-il condamné à subir et que subir ? Et l’Ours comment envisagez-vous son développement à 10 ans ?

Vous savez comme nous, que les éleveurs ont joués le jeu des protections.

Vous savez comme nous qu’aucune n’a donné des résultats, sauf dans des lieux que vous refuseriez de communiquer. (sic).

Vous savez comme nous que l’Italie est au bord du gouffre à cause des Loups et que la majorité des élevages traditionnel ont disparu.

Vous savez comme nous la position que les Espagnols face aux Ours réintroduit par hélicoptère se posent de nombreuses questions, et que nos voisins demandent une interruption des réintroductions.

Vous savez, vous qui voulez créer des Yellowstone à la Française que là-bas le résultat de sa réintroduction est catastrophique sur la biodiversité.

Alors Mesdames et Messieurs combien d’entre vous ont-ils déjà rencontré un Ours ? une meute de Loups ?…

Assumerez-vous un accident (inéluctable) dans un petit pays comme le nôtre qui contera à 10 ans sur 500 000 KM2, avec une croissance de 25%, 7000 Loups concentrés sur 30% du territoire ? .

Assumerez-vous une attaque d’Ours sur un promeneur, ou un ramasseur de champignons, comme il s’en produit régulièrement en Russie ? (La Russie qui compte 17 Millions de KM2).

Cette forme de discrétion que vous souhaitez depuis de nombreuses années ne reflète-t-elle pas la crainte de voir s’opposer une levée de boucliers de la vulgaire populace ?

Les Gueux n’auraient pas compris que ces prédateurs sont les bras armés de votre politique jusqu’au boutiste ? Les virer pour s’accaparer la nature ?..

Alors organisons un débat. Expliquez-nous et opposons arguments contre arguments… mais au grand jour, à la lumière de la contradiction.

Frank